Sous les étoiles, tout s’embrase,
La musique m’enchaîne, elle nous hypnotise.
La nuit commence, tout s’écroule et s’envole.
Bassline grooves with claps.
Dans une ville qui ne dort jamais,
On glisse, on brûle, on est prêts.
Un regard, un sourire, une étincelle,
Ce soir, on marque l’éternité.
Sans fin, cette folie.
Les lumières tranchent comme des éclairs d’or,
Nos cœurs battent à s’en briser, encore et encore.
Encore et encore.
Oh, nuit magique, sombre et fantastique,
Les rythmes nous avalent, on perd la logique.
La logique, elle s’efface.
Oh, nuit magique, amour chaotique,
La fête nous consume, c’est notre unique vice.
C’est unique, c’est frénétique.
Danse, danse, jusqu’à l’épuisement,
Sous la lune, on défie le temps.
Danse, danse, sans jamais céder,
Ce moment, à jamais gravé.
Toujours gravé.
Les basses roulent comme des vagues dans nos veines,
Les corps se heurtent, l’euphorie nous entraîne.
Un cocktail d’amour, de poison et de feu,
La fête dévore jusqu’à l’horizon.
Oh, l’horizon brûlant.
La guitare hurle, l’électro s’envole,
Nos âmes éclatent comme un rêve fou.
Ce soir, on est libres, féroces, immortels,
Les étoiles regardent nos excès et applaudissent.
Féroces, immortels.
Oh, nuit magique, sombre et fantastique,
Les rythmes nous avalent, on perd la logique.
La logique, elle s’efface.
Oh, nuit magique, amour chaotique,
La fête nous consume, c’est notre unique vice.
C’est unique, c’est frénétique.
Bassline grows darker with echoing screams.
Danse avec moi, au bord du précipice,
Oublie le monde, abandonne-toi.
Nos pas s’étendent dans l’infini,
Ce soir, on est éternels, oui.
Éternels, à jamais.
Sous les étoiles, tout s’embrase,
La musique s’arrête, mais le désir reste intact.
La nuit se dissout, mais les souvenirs dansent encore dans nos cœurs.